Sous l'emprise de quelle émotion écrivez-vous ?

La colère, la tristesse & la neutralité...

cela dépend la scène que l'on écrit je pense...

on fera plus ressentir les choses quand on est dans le même état d'esprit que nos personnages...

Pas vraiment d'émotion particulière. Par ennui, sûrement pas, je suis contre-productive dans ces cas-là car je fais ça à défaut d'autre chose, sans motivation. En revanche, écrire peut influer sur mon humeur^^ Lorsque j'ai écrit une scène où mon héros pique sa crise et se met à crier sur tout le monde, après avoir éteint mon ordinateur, j'étais de la même humeur. En colère sans aucune raison. Mes frères n'ont pas compris ce qui leur arrivait^^

Moi, ça me prend à 23 heures, quand je viens juste d'éteindre mon ordi. Des fois, je dois me forcer pour ne pas le rallumer parce que j'ai cours le lendemain^^
Tu ne nous montres guère tes écrits, au fait...

Je participe au concours, vous allez voir ma façon d'écrire...

Colère, tristesse, joie et neutralité....

Colère, tristesse
mais quoi qu'il en soit je jette tous mes textes donc je ne sais pas si on peut vraiment dire que "j'écris".

L'ennui.

Je n'écris pas réellement moi non plus... Manque de confiance en moi : je veux sans arrêt atteindre la perfection, jusqu'à retomber dans ma terrible désillusion.

Je connais ça Maxime mais à ton âge tu as encore le temps de changer

Manque de confiance en toi??? Ton truc sur les hyppocampes, il y a que toi pour nous écrire un débat aussi original.

C'est vrai que j'ai énormément d'imagination !

Quand j'écris c'est en général quand je suis d'humeur nostalgique ou triste ... mais aussi quand je suis énervée. Enfin dès que j'ai finit décrire, je déchire tout, c'est juste mon "défouloir".

J'ai plusieurs cahiers, que je nommes poésie (alexandrin).
C'est souvent sur le coup de la tristesse, de la colère, et de la joie.
Sinon je tiens un journal depuis mes 12 ans, ou je raconte tout ce qui me passe par la tête. Des fois ça tient la route, des fois pas. Des jours je me relis, et je n'arrive même pas à me comprendre moi même.

Moi j'écris sous le coup d'émotion forte, le plus souvent la tristesse, la nostalgie, et la colère, mais aussi la joie, la peur, et toute les autres. L'écriture a toujours était pour moi un moyen d'exister autrement, de me faire entendre, donc c'est mes émotions qui dicte beaucoup de mes écris, du moins tous mes écris spontané. Bien que mon imagination est souvent besoin de se défouler, et la pas besoin d'émotion je me laisse juste guider par mes envies.

Et bien cela dépends, quand je suis en colère, triste ou nostalgique j'écris sur mon journal intime mais la plupart du temps j'écris par néssécitée donc sans émotions particulières.

Comme la plupart des gens, j'écris quand je suis déprimée. J'écris tout et n'importe quoi, je ne réfléchis plus vraiment, j'écris ce qui me passe par la tête. J'incorpore des citations, des choses que j'ai entendu, et à la fin ça donne un paquet de mots, et je m'impressionne à chaque fois. Enfin, je ne m'impressionne pas sur la qualité de mes textes mais plutôt sur la quantité. Il y a quelques années, je mettais des mois à écrire un texte, et maintenant, ça se fait en dix minutes

Pour moi, seule l'envie d'écrire. Qu'importe la joie, la tristesse, seule l'envie me permet de tenir correctement un crayon !

Je n'ecris pas sous l'impulsion d'une émotion particuliére. Je trouve que l'émotion gâche la reflexion. Après, j'ecris bien sûr en suivant une émotion, mais celle ci n'est pas indispensable. Parfois, j'écris par pur habitude.

Moi, au contraire, je trouve que l'émotion donne du corps à la réflexion.

Pour ma part, si j'essaie d'écrire sans émotion particulière mais plus "par défaut", je trouve mes textes raplaplas, sans consistance.

En général, j'écris sous le coup de la tristesse ou de la colère et je suis fière du résultat.

Elora a écrit:

Moi, au contraire, je trouve que l'émotion donne du corps à la réflexion.

Pour ma part, si j'essaie d'écrire sans émotion particulière mais plus "par défaut", je trouve mes textes raplaplas, sans consistance.

En général, j'écris sous le coup de la tristesse ou de la colère et je suis fière du résultat.

Je suis tout à fait d'accord avec toi, c'est exactement pareil pour moi, je ne peux rien rajouter.

Pour ma part, certainement pas par joie, euphorie, colère ou tristesse. Ce sont des émotions beaucoup trop violentes qui rendent mes textes ridicules d'exagération et même un peu banals à mon goût. En fait j'évite d'écrire dans ces moments là. Non, ce serait plus sous l'emprise de l'ennui ou bien d'aucune émotion en particulier.

Je partage ton avis. Les trop fortes émotions sont bonnes pour griffoner un journal, pas pour écrire "sérieusement" car les doser revient à faire un double travail sur soi...