Quatrième de couverture :Un loup dans des draps blancs et le Petit Chaperon Rouge qui musarde sur des chemins de traverses… Des nains énigmatiques éblouis par une femme-enfant…
Le conte est « un oiseau bizarre sur le dos duquel on aime à s’envoler ». A partir d’images issues de la tradition orale, les frères Grimm ont réalisé les plus beaux contes. Ecrits et réécrits, ces récits exercent toujours la même fascination en dépit des variantes.
« Arbre gentil, agite-toi bien fort
Pour me couvrir d’argent et d’or. »
Ainsi la Cendrillon de Grimm n’a-t-elle pas de marraine mais un noisetier magique…
Qui se souvient encore de ces fileuses mi-fées, mi-sorcières, de Margot-la-Malice ou de l’Oiseau Ourdi ? Fictions merveilleuses et étranges, c’est encore et toujours la surprise d’un éblouissement.
Les contes :- Blanche-Neige
- Les trois fileuses
- Chats et souris associés
- La Belle au Bois Dormant ou la Princesse Fleur-d’Epine
- Le Fiancé brigand
- Jeannot et Margot
- Le conte du crapaud
- Cendrillon
- L’Oiseau d’Ourdi ou Barbe-Bleue
- Le Petit Chaperon rouge
- Le Vieux Sultan
- Margot-la-malice
- Le voyage du Petit Poucet
- La Lumière bleue
Avis :Agréable à lire. J’ai retrouvé certaines histoires de mon enfance, en version moins tendre évidemment. C’est intéressant de voir comment le côté enfantin et la mort quasi-omniprésente arrive à cohabiter dans ces contes. Sans toutefois paraître décalé. A lire pour passer un petit moment sympathique.