Toujours pas de titre...

____Le gyrophare allumé, la voiture roulait vite à travers le dédale de rues désertes qu’offrait une heure si matinale. La quarantaine, les yeux sombres, une barbe de trois jours, Yoann Kors ressemblait davantage à un escroc du marché noir qu’à un inspecteur de police judiciaire. Sans le connaître, on l’aurait volontiers pris pour un psychopathe schizophrène. Les criminels ont souvent ce regard étrange, terrifiant, et pourtant fascinant ; le genre de regard que l’on n’arrive pas à soutenir, et qui nous font rougir nous autres femmes Bien sur, il y a plein d’autres choses qui nous causent une émotion forte, mais rien n’est plus gênant qu’un regard bien formulé.
____En connaissant son histoire, on ne voyait plus de fou criminel dans les yeux noirs de Yoann : on y contemplait un être déchiré, un homme ne trouvant de paix plus que dans le travail depuis l’accident. Il était devenu un spectre, l’ombre de lui-même, le genre de personne qui survit plus qu’elle ne vit. Il avait depuis peu passé le cap de l’enfermement physique et moral. Ironiquement, c’est lorsque l’on est conscient d’avoir besoin de compagnie qu’on la rejette. Intérieurement, on voudrait crier de désespoir et avoir quelqu’un a qui tout dire. On voudrait même que la personne en question comprenne tout dans un seul regard, mais extérieurement, tout est froid et sans vie. Un mur s’est élevé solidement et durablement. C’est le principe de la paralysie : on voit tout, on entend tout, on comprend tout, mais on ne peut rien faire d’autre que subir le poids conséquent du destin.
____Dans ces isolements, on trouve une occupation : la musique, l’écriture, la photographie, quelque chose que l’on peut faire seul, sans être dérangé. Yoann, lui, s’était mis à peindre. Cela lui permettait de s’occuper l’esprit pendant ses nombreuses heures perdues dans la solitude. Ne rien faire n’arrange rien. Ne rien faire fait penser et penser accroît le grand vide qui s’empare de nous lorsque l’on ne voit plus d’issues.

Alors là. Absolument rien à redire. Je suis complètement accro. & dingue de la description de ton personnage. J'aime j'aime j'aime ! ( & j'aime les hommes qui ont l'air de psychopathes schizophrènes =P )

Merci beaucoup Smile

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De rien. =$

Nous nous infiltrons carrément dans la vie d'un nouveau personnage. Au lieu d'une simple description, tu nous plonges directement dans la vie de ce policier à la quarantaine. Tu ne fais donc pas la choses à moitié. Tu écris admirablement bien & ce premier chapitre recèle de nombreux détails. Cool Wink

J'ai dû en revanche constater à ma première lecture quelques petite irrégularités. Que j'ai lâchement oubliées ! Je tenterais de les repérer mais relis-toi & n'oublies pas les négations Smile

Je me dois de protester ! de quoi tu paaarles ? :O

(le chapitre n'est pas fini, ce n'est que le début...)

Je n'ai pas retenu... Dommage ^^'

Désolé j'ai relu 3 fois, je vois rien... si ça te reviens, on sait jamais, mais moi je ne vois pas de fautes ^^

Peut-être pas des fautes mais des petites imperfections de langage. Je n'en sais plus rien...

bouaf, pas grave, passons. Sinon ?

Sinon c'est un excellent début. Je t'en félicites Wink

merki

Je suis contente d'avoir ton avis, parce que bon,je veux continuer, je veux le finir Smile

Ne t'arrêtes pas sur ta lancée. Ne te précipites pas non plus, laisses venir ton imagination au bon moment et rédiges quand il en est temps Smile

Ne t'inquiètes pas, je prends tout mon temps, et je ne compte pas le bacler :O Je cherche mes mots comme tu l'as remarqué, alors un paragraphe me demande des heures de concentration.

Le plus rapide, c'est de trouver le fin mot de l'histoire, son contenu, et son deroulement. Le plus dur, c'est trouver les mots qu'il faut Smile

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J'ai le droit de répéter encore une fois à quel point j'aime ton début ? =P

c'est un très bon début à mes yeux, mais on ne sait, enfin en tout cas moi, pas quel genre de texte c'est...
tu parles d'un policier puis ensuite de psychopathe ou quelque chose du genre puis enfin de ce policier qui s'est caché dans la peinture... soit c'est ce qui se passe quand on est militaire policier ou ce genre de métier... soit c'est que je n'ai rien compris...

je vais le relire quand même... on ne sait jamais...

bien sur que tu as le droit, et ca me fait plaisiir :] Puisque ca plait, je peux être sure de pouvoir continuer sans risque ^^. C'est dommage, j'avais aussi decrit le personnage central, mais j'ai préféré ce passage là =P

Je crois que a l'evidence tu n'a pas compris...

comme quoi le relire une deuxième fois c'est mieux, je comprends beaucoup mieux, je devais penser à autre chose la première fois que je l'ai lu....

continues comme ça ...

J'y ai encore apporté quelques modifications. Je suis en train de tout remettre au clair, j'ai trop de brouillons :X

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» Le titre, dilemne existentiel