Je n'ai pas vraiment d'idée de titre, et c'est bien le cadet de mes soucis.

Alors voilà, je suis en train d'écrire ma première histoire. Je dis histoire, parce que roman serait sans doute exagéré. Je vais vous taper ici un court extrait, qui est en vérité un moment crucial. Je ne dirai pas que je ne veux pas de critiques mais j'veux dire, soyez indulgent les gars Ne faites pas attention aux fautes, parce que je tape vite.
Je vais vous faire découvrir le tout debut de l'histoire, que je compte encore modifier, car je ne suis pas sure de vouloir vraiment ça pour debut. Bref, je veux juste etre jugée sur le style et non sur l'histoire. De toute façon... Non rien

Des pas réguliers résonnaient dans le couloir. La blancheur du dallage, des murs et des néons grésillants de ce haut complexe sanitaire était perturbée par une tâche informe et immobile. Un homme, ou du moins ce qu'il en restait, était assis sur une chaise unique. Des yeux vides et mornes semblaient tournés vers les néons, mais l'homme ne voyait rien. Il était face à ces moments de vide qui nous font oublier le non-soi, l'exterieur. Il etait devant ses pensées sans les comprendre, sans les saisir, dans toute l'ignorance de l'humanité rêche de sa vie.
Des cernes creusaient son visage déjà pâle. Ses réflexions étaient brumeuses et inaudibles. Le silence pesant aurait été sans nul doute étouffant s'il n'était lui même à moitié etouffé par ces pas, qui rebondissaient sur les murs immaculés à la façon d'une partie de ping-pong.
Dans sa demi-lucidité, il aurait pu se demander si sa vie avait eu un sens, une utilité. Il aurait pu faire comme tous les hommes au bout du rouleau en énumerant des "si je n'avais pas". Il aurait pu se remettre en question, mais il ne faisait rien. Il ne bougeait pas. Il attendait. Quoi ? Il ne le savait pas vraiment.
Les pas se rapprochaient toujours, et devenaient assourdissants face aux murmures des portes qui se succédaient dans le couloir. Dans ce haut corridor, le temps et l'espace semblaient s'être, pour un moment, arrêtés et il n'y a rien de plus long au monde que la perspective de l'attente de la mort.
Celle-ci approchait à grandes enjambées.

Voilà j'ai a peu près corrigés les deux trois fautes d'orthographe, et je suis vexée, parce qu'il n'y en avait pas tant que ça ><. (je laisse l'absence de certains accents, parce que comme mon père, j'ai une sainte horreur des accents :@) Vous êtes contents maintenant ? HIN ? VOUS ETES CONTENTS ?? Graines d'anarchistes.

Je ne suis pas fière maintenant, de ma tout dernière phrase, que je trouvais au debut si bieeeeN

J'aime beaucoup, vraiment. =) Il y a juste quelques fautes d'orthographes qui me perturbent un peu, mais bon, comme tu "tapes vite", je ne vais pas me formaliser là dessus. =P Je trouve ton style un peu "hésitant", par moment, je ne saurais pas tellement comment te l'expliquer. =x Il y a juste cette phrase que je ne comprends pas, peut-être une erreur de frappe, ça m'arrive parfois : "Il était face à ces moments de vide qui nous oublier le non-soi, l'exterieur."
Je serais curieuse de savoir ce qu'il va se passer par la suite, en tout cas, même si il y a trop peu de texte pour qu'on puisse réellement entrer dans l'histoire... =)

Oupps excusez moua, j'ai oublié un mot :$
Voici plutot :

"Il était face à ces moments de vide qui nous font oublier le non-soi, l'exterieur (...) "

Veuillez m'excusez d'avance, et pardonnez mes fautes, vraiment, mais je tapes vite, et je ne me relis pas quand je tape. Merci toutefois pour cette petite rectification qui evidemment, change tout.

Maxime, je tiens a te dire en revanche, que cet extrait, je l'ai recommencé au moins 5 fois, et je ne compte pas m'arretez là, cependant je te rassure, je me comprends parfaitement. Il y en a certains en revanche qui pourraient ne pas comprendre certaines phrases, du fait de leur complexité, de leur vocabulaire, et de leur poésie ou allusions....

Moi qui fais aussi de fautes d'orthographe, je ne les est pas vu et donc je n'ai aucune remarque à te faire. De plus, je suis sur que tu trouvera un titre pour accrocher même le plus difficille des lecteurs, je te souhaite bon courage pour continuer.

Maximus, tu m'feras toujours rire xP. Je voulais aussi te dire que, comme dans ton premier message tu me disais que les lieux et raisons n'étaient pas bien clairs, je pense pouvoir te dire sans trop de risques que c'est là justement que repose mon roman : Quand où pourquoi .
Je t'offres un nem chinois ?

Merci Aurélie, tu es sympa, si toi aussi tu ecris des choses n'hesites pas a m'avertir ;D

Un vote pour un autre extrait serait trop demander, je ne suis vraiment pas sure de moi...


En attendant, a tchao les scarabées !

Plutôt un Nem Japonais. Les Chinois sont occupés, insouciante !

Ah yeah tu as raison. Heuu un nem japonais humpf, enfin jveux dire c'est.. heu c'est loin...



Un Big Mac ou Mc chicken (c'est moins cher :$)

xD

Une grande fritte plutôt !

C'est partiii (hé on va au mcdrive hin, c'est plus rapide, muchos rapidoos !

(on parle de bouffe (et de bonne bouffe en plus) sur ma présentation quoi --)

C'est pas faux !
personnellement, j'adore sentir la fwite. Tu sais la fwite avec pleins de mayonnaize. Ahah. La mayonnaizze. Moi j'aime les fwites a la mayonnaiizze.

La fuite ? Vous aimez donc fuguer...